les news de la chasse

eux ils ont droit au plongeur jusqu au 10

oui pas trés precis pour les plongeurs //pascal
ps // donc attention

Oui le plongeurs reste ouvert jusqu'au 10/02 pour les dpm...

t inquiete ERIC lundi je descend avec ma carte du DPM //Pascal

La SNCF embauche des cheminots chasseurs

La société SNCF cherche à améliorer la sécurité et le retard des nombreux trains qui circulent le réseau des voies ferrées françaises. Et parfois, le danger provient d’où on ne l’attend pas comme des animaux qui se promènent sur le long des rails et qui les traversent avec le risque d’accident qui en découle …

Un sanglier qui traverse une voie, détériore le ballast, des lapins qui creusent un terrier au niveau d’un rail, aussi ! Il arrive même que du gibier s’arrête sur les rails ! Tous ces problèmes causent des ralentissements et des retards du train qui doit attendre que l’obstacle parte, mais aussi de tous les trains qui suivent parfois à quelques minutes seulement !

D’où le nouvel emploi à la SNCF : cheminot chasseur ! Et il y a du travail ! En effet, une seule personne peut surveiller quelques 150 kilomètres de voies ferrées ! Et c’est efficace, car les accidents baissent alors de 20% et les retards sont beaucoup moins nombreux !

Il y a des emplois et des métiers cachés que l’on imagine pas dans certaines grandes entreprises, et il ne faut pas hésiter à postuler si l’on a une activité qui n’a rien a voir avec l’activité de la société dans laquelle on souhaite travailler …

ACTUALITÉ Société
Les antichasse demandent une meilleure cohabitation

Mots clés : Rassemblement des opposants à la chasse, Anti-chasse, ROC, Chasseurs
Par Bertrand Le Balc'h Mis à jour le 12/09/2011 à 16:00 | publié le 11/09/2011 à 15:31 Réactions (3)

La Ligue ROC, ex-Rassemblement des opposants à la chasse, se tourne vers le gouvernement pour engager le dialogue sur le partage de la nature.

Au moment où la saison de chasse démarre, la Ligue ROC, ex-Rassemblement des opposants à la chasse, monte au créneau pour défendre les intérêts des non-chasseurs. Il est, affirme-t- elle dans un communiqué, «difficile de se promener sereinement à pied, à cheval ou en VTT dans une forêt où se déroule une battue, difficile de profiter du calme de son jardin quand le bruit des fusils remplit l'espace sonore».

Selon un sondage réalisé il y a deux ans par l'Ifop pour l'Aspas (Association pour la protection des animaux sauvages), 54% des Français ne se sentent pas «en sécurité» quand ils se promènent dans la nature en période de chasse et autant sont favorables à son interdiction le dimanche.

Présidée par l'astrophysicien Hubert Reeves, la Ligue ROC réclame «un partage de l'espace» et «la réouverture de la table ronde chasse pour trouver un mode de cohabitation».
Chasse du gibier d'eau

Initiée au printemps 2008 par Jean-Louis Borloo, alors ministre de l'Écologie, cette table ronde visait à régler, enfin, les différends existant depuis des lustres entre les chasseurs et les protecteurs de la nature (chasse du gibier d'eau, espèces chassables ou non…).

Réunissant les grands acteurs de la chasse, de la protection de la nature et des territoires ruraux, elle a débouché sur deux accords.

Le premier, en juillet 2008, sur les dates d'ouverture de la chasse au gibier d'eau (petits échassiers, canards, oies) et qualifié d'«historique» par le ministère de l'Écologie.

Le second, en janvier 2010, a porté sur les dates de fermeture, sources de polémiques depuis plus de vingt ans entre chasseurs et défenseurs de la nature. Bien que partiel, il a représenté un grand pas en avant, d'autant que les négociations menées sur ce sujet dans la foulée du premier accord s'étaient soldées par un échec.

Mais un an auparavant, contestant les arrêtés publiés par le ministère de l'Écologie sur les dates de fermeture 2009, France Nature Environnement, la LPO (Ligue de protection des oiseaux) et la Ligue ROC avaient déposé un recours devant le Conseil d'État. En juillet 2010, il leur a donné raison en annulant ces arrêtés.
«Conflits stériles»

La réaction de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), qui s'est estimée «trahie», ne s'est pas fait attendre. Dès son arrivée il y a un an à la présidence de la FNC, Bernard Baudin a annoncé le retrait de sa fédération (elle regroupe 1,25 million de chasseurs) de la table ronde.

Pour sortir de trop d'années de «conflits stériles», la Ligue ROC se tourne aujourd'hui vers les pouvoirs publics. «Il est de la responsabilité du gouvernement de rapidement mettre en place les mécanismes qui permettront d'assurer au niveau national mais aussi local un dialogue stratégique entre les différents usagers des territoires sur lesquels se pratique la chasse», souligne son directeur, Christophe Aubel.

De son côté, le monde de la chasse ne reste pas les bras ballants. Ainsi, la Fédération des chasseurs du Jura vient de donner le coup d'envoi aux Rencontres et avenir de la chasse… pour une nature partagée. Objectif: élaborer avec des acteurs extérieurs à ce monde (associations de défense de la nature, offices du tourisme, représentants de l'État…) le plan de chasse pour la période 2012-2018. Et à l'initiative du Saint-Hubert Club de France, un colloque se tiendra le 3 novembre, au Sénat, sur le thème chasse, usages et usagers des territoires ruraux.