une journée comme on les aime au marais.
Tout d'abord à la maison, l'épuisette casse et je galère pour choper les appelants sous une pluie soutenue. Ca commence bien.
Puis arrivé à la bourre à la hutte, notre moyen de locomotion est en panne de batterie.
Donc nous décidons de prendre notre courage à deux mains et on prends la charette pour charger nos affaires jusqu'à la hutte quand une roue casse sous le poids.
. Mon petit chien voyant le temps long, s'amuse à faire partir une bonne dizaine de bécassines des marais et sourdes qui se trouvaient en pature.
Arrivé à la hutte, plus une bécassine à nous mettre sous le fusil, on décide donc de se dépécher pour ateler.
La mon chien se bat avec un rat et se blesse une nouvelle fois la gueule
.
Un élastique pete et vla un appelant qui se barre
la passée étant bien entamée, on rentre se mettre au chaud.
Nuit ras si ce n'est des belles attaques, des hérons, des chouettes, des bécassines qui rasent la flaques et les rats musqués qui vadrouillent.
Le matin penssant la poisse être partie, nous attendons patiamment les canards et pigeons qui ne sont jamais passés. 10 heures nous décidons de dételer. Paf un piquet vient faire une fuite dans les waders neuves
une fois les canards remisés dans les caisses de transport, reste plus que le jars de cendré à dételer qui d'ailleurs se fait entendre . Et là , à notre grande surprise six oies viennent à la pose devant lui ailes cassées et pattes ouvertes à trois mètres de haut. Elle nous voit chercher nos fusils qui se trouvaient loin de notre position, battent les ailes et partent sans un mot vers landrecies. Je ne vous cache pas notre joie de voir s'envoler une fois de plus une belle occasion de prélever une oie.
Pour consolation, n'ayant pas pu reconnaitre formellement les zonzons cachées par les rayons du soleil, nous nous sommes dit qu'il s'agissait surement de bernaches ou d'égyptes. Si quelqu'un les a vu et puisse confimer notre pensée